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kifasie
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   Posté le 10-01-2006 à 15:13:36   Voir le profil de kifasie (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à kifasie   

L'origine des Mongols

Il semble que ce peuple apparaisse déjà dans les chroniques chinoises du IVe siècle de l'ère chrétienne sous le nom de Meng-gu. Il serait originaire des confins occidentaux de la Mandchourie, c'est-à-dire de la région du cours supérieur du fleuve Amour.

C'est un fait que les Mongols n'ont jamais été en contact direct avec les peuples indo-européens (Iraniens et Tokhariens) qui ont dominé l'Asie centrale jusqu'aux environs de l'an 1000, contrairement aux peuples turcs. Cela s'explique par le fait qu'ils occupaient à cette époque une position assez reculée.

Les Mongols ont un lien particulier avec le massif montagneux du Khentei, situé au nord d'Oulan-Bator et au sud du lac Baïkal. Ils y situent leur montagne sacrée, le Burqan Qaldun, où leurs ancêtres mythiques, le Loup Bleu et la Biche Fauve (Börte Chino et Qo'ai Maral) auraient vécu.

La première confédération mongole que l'on connaisse s'est formée à l'est du Khentei, sous l'impulsion de Qabul Khan, qui a probablement vécu entre 1100 et 1150. Ses conflits avec les Tatars, ses voisins orientaux, ont entraîné sa dislocation.


L'Empire mongol

Genghis Khan était un arrière-petit-fils de Qabul Khan. On ne sait pas en quelle année se situe sa naissance: ce peut-être 1155, 1162 ou 1167. Entre 1187 et 1196, il fut proclamé khan (c'est-à-dire roi). Il défit les Taichi'ud, qui vivaient au sud de l'actuelle Bouriatie, en Sibérie, puis les Tatars, ce qui lui permit de contrôler la Mongolie orientale. En 1204, il soumit les Merkid, l'ouest du lac Baïkal, et un an plus tard, ce fut au tour des Naiman, à l'ouest de l'actuelle Mongolie, d'être vaincus. Dès lors, Genghis Khan contrôlait presque tout le territoire mongol. Une grande assemblée, en 1206, le nomma khan universel.

Les Ouïgours se rallièrent aux Mongols en 1209. Ce furent eux qui leur donnèrent leur écriture. Cette même année, Genghis Khan commença sa campagne contre le royaume du Xia Occidental, fondé par les Tangoutes autour de l'actuelle province chinoise de Ningxia, mais il ne la termina que 24 ans plus tard, juste avant de mourir. En 1211, il lança l'assaut contre les Jin, une dynastie fondée en 1115 par les Jürchen, peuple apparenté aux Mandchous. La ville de Pékin, capitale des Jin, fut prise et pillée en 1215, mais le souverain Jin s'était réfugié à Kaifeng. Cette dynastie ne s'effondra qu'en 1234, sous l'action conjuguée des Mongols et des Chinois du Sud, qui étaient alors alliés.

En 1220, Genghis Khan attaqua l'empire turc et musulman du Khwarezm, centré sur l'actuel Ouzbékistan. Sa campagne, ponctuée par de terribles massacres, le conduisit jusqu'au nord-ouest de l'Inde. Un détachement de 10 000 hommes, conduit par Jebe et Sübötei, s'aventura jusqu'en Russie, dont il écrasa les armées.

Deux ans après la mort de Genghis Khan, en 1227, son troisième fils Ögödei lui succéda. Ce fut sous son règne, entre 1236 et 1242, que la campagne d'Europe se déroula. Les armées russes, puis polonaises et hongroises furent balayées, et les Mongols arrivèrent sur les rives de l'Adriatique. Leurs troupes se retirèrent cependant assez vite d'Europe centrale.

En 1235, Ögödei édifia une muraille autour d'un lieu que Genghis Khan avait choisi comme "camp de base". Cette cité devint Karakorum, la capitale des Mongols. Elle est située à 320 km à l'ouest d' Oulan-Bator .

Ögödei étant décédé en 1241, le pouvoir fut détenu par la régente Töregene. Güyük, fils de l'empereur défunt, accéda au pouvoir en 1246, mais il mourut deux ans plus tard. Le 1er juillet 1251, Möngke, un cousin germain de Güyük, devint le Grand Khan. On peut considérer qu'il fut le dernier véritable empereur des Mongols, car après son règne, l'empire mongol perdit son unité. Möngke entama la conquête de la Chine du Sud, alors gouvernée par le reliquat de la dynastie Song. Son frère Hülegü fut nommé vice-roi d'Iran (Il-khan) en 1253 et prit Bagdad le 10 février 1258. Le calife Al-Mustasim fut exécuté, ce qui était un coup très dur porté à l'islam.


Grandeur et décadence

Khubilaï, un autre frère de Möngke, lui succéda le 16 mai 1260, à l'issue de ce qui fut un véritable coup d'État: les souverains se faisaient normalement élire lors d'une assemblée, le quriltaï, mais Khubilaï ne convoqua pratiquement aucun parent. Cela ne lui donnait aucune légitimité aux yeux des autres Genghiskhanides.

Son mérite est d'avoir achevé la conquête de la Chine. Dès son avènement, il s'installa à Pékin, et en 1271, il prit un titre dynastique à la manière chinoise: celui des Yuan. Mais il ne devint pas pour autant un empereur chinois. Les Mongols restèrent toujours un corps étranger à ce pays et pratiquèrent un politique de discrimination à l'égard des autochtones.

Sur une grande partie de l'Eurasie, après le temps de la guerre est de ses atrocités, était venu celui de la "paix mongole". C'est la sécurité des voies de communication qui permit à Marco Polo d'arriver en Chine. Il n'existait pourtant plus un unique empire mongol, mais plusieurs: celui des Yuan en Chine, celui de Jaghataï (1227-1338) en Asie centrale, celui des Il-khans (1259-1411) en Iran et en Afghanistan et celui de la Horde d'Or (1243-1502) en Russie. Le dernier était issu de Jöchi, le fils aîné de Genghis Khan, tandis que Jaghataï était le deuxième fils de Genghis Khan. Möngke, Khubilaï et Hülegü étaient les enfants de son quatrième fils, Tului.

Le temps de l'invincibilité des Mongols était passé. Les campagnes lancées par Khubilaï au Japon, au Vietnam et à Java furent des échecs. Après la mort de ce souverain en 1294, les Yuan s'affaiblirent progressivement. Des révoltes se produisirent et les Chinois finirent par chasser les Mongols. Le Grand Khan Toghan Temür, arrivé au pouvoir en 1333, quitta Pékin dans la nuit du 10 septembre 1368 et mourut sur la terre de ses ancêtres quatre ans plus tard.

Or la Mongolie était dans un état pitoyable. Les meilleurs de ses fils étaient partis à la conquête du monde et ce pays n'en avait que peu profité. Plus encore, il avait souffert des conflits entre princes rivaux.


Dayan Khan

Tandis que les descendants de Genghis Khan s'entretuaient, dans un pays livré aux pillages et à l'anarchie, un peuple mongol qui n'avait pas participé aux conquêtes commença à s'illustrer. Ce sont les Oïrat, encore appelés Mongols occidentaux, qui vivaient à l'ouest du lac Baïkal et au nord de l'Altaï. Leur chef, Toghan, transforma en 1434 la Mongolie en un protectorat. Son fils Esen Taïji réussi un formidable coup l'éclat en capturant l'empereur de Chine (de la dynastie Ming, lors d'une bataille où 100 000 soldats chinois perdirent la vie. Il fut assassiné en 1455.

Les Oïrat se scindèrent bientôt en trois groupes, les Jüüngar (Züün Gar "Main Gauche" en mongol moderne, groupe qui a donné son nom à la Dzoungarie, région du nord du Xinjiang), les Khoshuut et les Torguut (aussi connus sous le nom de Kalmouks).

La restauration des Mongols orientaux fut l'œuvre d'une femme exceptionnelle, Mandukhaï Khatun. Elle recueillit l'un des rescapés de la descendance de Khubilaï, Batu-Möngke, qui avait alors sept ans. Elle le mit sur le trône, chassa les Oïrat de Mongolie et assura la régence. A l'âge de 18 ans, Batu-Möngke épousa sa mère adoptive et prit le titre de Dayan Khan (Dayan provenant du chinois Da Yuan). Il régna durant pas moins de 73 ans, jusqu'en 1543 sur une Mongolie pacifiée.

Il effectua une répartition des Mongols orientaux qui existe encore aujourd'hui. Les Khalkha et les Chakhar formèrent l'aile orientale, les premiers en Mongolie centrale et les seconds à l'est de l'actuelle Mongolie intérieure. Les Ordos et les Tümet formèrent l'aile occidentale, les premiers au centre de la Mongolie intérieure et les seconds au nord des premiers. Les Chakhar, étant dirigés par la branche aînée des Dayanides, pouvaient porter le titre de Grand Khan.


La conversion au bouddhisme

Altan Khan (1507?-1582), petit-fils de Dayan Khan et roi des Tümet, aidé par son petit-neveu Khutukhtaï-sechen-khontaïji (1540-1586), prince des Ordos, poursuivit des campagnes militaires entamées par son grand-père. Il vainquit les Oïrat, prit pied dans l'actuelle province chinoise du Qinghai, au nord-est du Tibet, et arriva devant Pékin en 1550. Vingt ans plus tard, il obtint l'ouverture de marchés à la frontière de la Chine. Il fonda Hohhot (Khökh khot "Ville bleue" en mongol moderne), actuelle capitale de la Mongolie intérieure, en 1575.

Khutukhtaï-sechen-khontaïji se convertit au bouddhisme tibétain en 1566. Altan Khan suivit son exemple le 15e jour de la Ve lune de 1578, lors d'une rencontre avec Seunam Gyamtso, l'abbé du monastère de Drépoung. Ce dernier était considéré comme le troisième successeur par réincarnation de Tsongkhapa, le fondateur de la lignée des Guélougpa. Il reçut d'Altan Khan le titre de Dalaï-Lama, où dalaï est un terme mongol signifiant "océan".

Plus tard, ce fut au tour d'Abdaï Khan (1554-1588), roi des Khalkha dont l'apanage se trouvait dans la région de Karakorum, de se convertir. La capitale, reprise par les Mongols après leur expulsion de Chine, avait été détruite par les Chinois en 1380. Sur ses ruines, en 1585, Abdaï Khan commença la construction du grand monastère d'Erdeni-juu (le «Monastère Joyau»), qui existe encore aujourd'hui.


La domination des Mandchous

A partir de 1604, les Chakhar furent gouvernés par Ligdan Khan (1592-1634), détenteur légitime du titre de Grand Khan. Il rêva d'acquérir le prestige d'Altan Khan et de regrouper les Mongols autour de lui, mais il était un personnage arrogant et dépourvu de tout tact politique. Les tribus de la Mongolie méridionale préférèrent, dès 1616, se rallier aux Mandchous, conquérants nouvellement apparus.

Vaincu par les troupes mandchoues, Ligdan Khan voulut se réfugier au Tibet, mais il mourut de la variole. Le sceau impérial tomba aux mains d'Abaqaï (1627-1643), le roi des Mandchous, qui pouvait dès lors prétendre à la souveraineté sur les Mongols. En 1636, quarante-neuf princes de la Mongolie méridionale reconnurent Abaqaï comme Bogda-khan ("Auguste Khan" lors d'une grande cérémonie au lac Doloon, à 400 km à l'est de Hohhot.

En 1644, les Mandchous renversèrent la dynastie chinoise des Ming et fondèrent la dynastie Qing. Les Mongols méridionaux se trouvèrent de la sorte rattachés à la Chine. Vivant dans ce que l'on appelle la Mongolie intérieure, ils n'ont jamais retrouvé leur indépendance.

La soumission des Khalkha aux Mandchous fut causée par l'émergence chez les Jüüngar d'un conquérant de grande envergure, Galdan, né en 1645. Après avoir soumis les Ouïgours du Xinjiang, ses voisins méridionaux, il se tourna vers la Mongolie. Entre 1688 à 1690, il parvint à mettre en fuite les princes Khalkha, qui n'eurent d'autre possibilité que de demander l'aide des Mandchous. L'empereur Kangxi accourut à la rencontre des Jüüngar et les repoussa avec son artillerie. Les Khalkha lui proclamèrent leur allégeance en mai 1691, au lac Doloon.

Galdan repartit à l'assaut de la Mongolie, mais ses troupes furent écrasées (et sa femme fut tuée) par l'artillerie mandchoue au sud d'Oulan-Bator, le 12 juin 1696. Le temps de la suprématie militaire des nomades sur les sédentaires, désormais équipés d'armes modernes, était révolu. Galdan mourut le 3 mai 1697. En 1757, les Jüüngar furent définitivement vaincus, et pratiquement exterminés, par les troupes chinoises.

Peu de Khalkha contestèrent la suzeraineté mandchoue. On signale une révolte conduite par le prince Chingunjav, en 1756 et 1757. Les Mandchous importèrent en Mongolie la bureaucratie chinoise, qui leur permettait un contrôle absolu de la population. Ce système avait pour mérite d'interdire les querelles intestines des Mongols, ainsi que les razzias qu'ils lançaient les uns contre les autres. Mais les petits éleveurs furent écrasés d'impôts de de corvées et les marchands chinois appauvrirent les Mongols par leurs transactions douteuses et leurs prêts à taux usuaires. A partir du XIXe siècle, l'installation de colons chinois eut tendance à refouler les Mongols vers le nord.


Une lignée sainte

Alors que l'avancée des Mandchous était en cours, Gombo-dorji (1594-1655), un petit-fils d'Abdaï Khan, découvrit en son fils âgé de trois ans (né en 1635) une incarnation sacrée. Peu importe de quelle divinité bouddhique cet enfant était l'incarnation! Il pouvait être un facteur d'unité entre les Mongols et constituer un frein à la "tibétisation" de la société mongole. L'idée de Gombo-dorji n'eut pas de conséquence politique, mais il aboutit à la création d'une lignée sainte semblable à celle des Dalaï-Lamas: l'enfant, qui s'appelait Zanabazar (déformation mongole d'un mot sanskrit, Jñanavajra "Vajra de Connaissance"), allait désormais se réincarner après chaque décès. Ces incarnations seraient connues sous le nom de Jebtsundamba-khutukhtu.

Zanabazar se rendit au Tibet à l'âge de quatorze ans, entre 1649 et 1651, pour parfaire une éducation mixte, mongole et tibéto-bouddhique. Il fut un personnage extrêmement brillant: sculpteur, peintre, architecte et traducteur. Il inventa même une écriture phonétique du mongol, du tibétain et du sanskrit. A l'âge de 17 ans (ou seulement de 13 ans, d'après certaines sources), il fonda le monastère de Da Khüriye, qui devint à partir de 1778 et après plusieurs déplacements le noyau de la future Urga (Oulan-Bator). Il mourut en 1723, peu après un séjour de 10 ans en Chine.

La force de sa personnalité contribua sûrement au prestige des autres Jebtsundamba khutukhtu. Que ces "bouddhas vivants" n'aient pas été des modèles de vertu (deux sont morts de la syphilis!) n'y a rien changé. A la mort du second d'entre eux, les Qing décrétèrent qu'ils naîtraient au Tibet, si bien qu'ils furent d'origine tibétaine, mais cela ne changea rien non plus à la vénération que leur vouaient les Mongols.

Aussi, quand la Mongolie déclara son indépendance en 1911, elle se considéra comme une monarchie dirigée par le huitième Jebtsundamba khutukhtu, qui portait le titre de Bogdo-Gegen.


La révolution

C'est à la faveur de l'effondrement de la dynastie Qing et de la proclamation de la république chinoise que la Mongolie secoua son joug. Le Bogdo-Gegen rêva d'une théocratie semblable à celle du Tibet. Il rêva aussi de régner sur la totalité des tribus mongoles. Les Russes lui demandèrent de modérer ses prétentions, en échange d'une protection militaire et financière. En réalité, la Mongolie n'était pratiquement plus d'un jouet entre les mains des grandes puissances: selon un accord russo-chinois de 1913, ce pays était autonome sous protectorat russe et suzeraineté chinoise...

Le protectorat russe permit à la Mongolie de connaître un début de modernisation, mais la révolution de 1917 la laissa aux mains des Chinois. En 1919, elle n'était de nouveau plus qu'une province chinoise. Cette situation entraîna la création de deux mouvements indépendantistes, l'un par Sukhbaatar, typographe de 26 ans, et l'autre par Tchoïbalsan, télégraphiste de 23 ans. Sukhbaatar avait joué un rôle dans le régime du Bogdo-Gegen, comme membre de l'Assemblée. Quant à Tchoïbalsan, il avait été admis au cours de langue russe du ministère mongol des Affaires étrangères.

En 1920, ces deux mouvements fusionnèrent et se rapprochèrent de Moscou. Alors que Sukhbaatar et Tchoïbalsan s'installaient à Irkoutsk, les Russes blancs étaient chassés de Russie par l'Armée Rouge. Un ex-officier balte issu de leurs rangs, le baron Ungern von Sternberg, s'empara d'Urga le 4 février 1921 avec une troupe de 800 Cosaques. Sous prétexte de châtier les Mongols communistes, il se livra aux pires atrocités, ce qui lui valut le surnom de "baron fou".

Au début de l'année 1921, le mouvement de Sukhbaatar et Tchoïbalsan prit le nom de "Parti populaire mongol", tint en Sibérie son premier congrès et institua un gouvernement populaire provisoire. Sukhbaatar franchit la frontière avec un corps expéditionnaire mongol soutenu par 10 000 Soviétiques, vainquit des troupes chinoises et reprit Urga le 6 juillet 1921. Trois jours plus tard, le gouvernement populaire s'installait dans la capitale. Ces évènements sont célébrés lors de la fête nationale mongole, le Naadam, les 11, 12 et 13 juillet de chaque année.

Si le Bogdo-Gegen conserva le titre de souverain de la Mongolie, il perdit tout pouvoir temporel. Des réformes sociales furent entreprises, mais il fallut attendre la mort du pontife, le 20 mai 1924, pour instaurer un vrai régime communiste. Sukhbaatar ("Le Héros à la Hache" étant décédé un an plus tôt, Urga fut rebaptisée en son souvernir Ulaan Baatar "Le Héros Rouge".




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